Le Théâtre du Jorat

Le plein de culture(s)
À la fois théâtre et grange en bois, le Théâtre du Jorat est un lieu improbable au charme suranné. Pendant sa saison qui s’étend d’avril à octobre, le Théâtre du Jorat propose une programmation populaire, pointue et poétique, inspirant les artistes et enchantant le public.

Situé dans le village de Jorat-Mézières à quelques encablures de Lausanne, le Théâtre du Jorat est un lieu unique. La « Grange sublime » construite en 1908 est classée monument historique d’intérêt national. À chaque représentation, son public est transporté dans un théâtre centenaire de mille places à l’acoustique rare. 

Terreau fertile propice à la création, le Théâtre du Jorat est un lieu d’exploration artistique sociale et sociétale. On y récolte des émotions, on y cultive des savoirs et on y fait germer de nouvelles idées. Vibrant en résonance avec son environnement, la Grange sublime explore les rapports entre nature et culture.

Polysémique, le Théâtre du Jorat propose une programmation populaire, pointue et poétique décloisonnant les genres et offrant ce qu’il se fait de mieux dans chaque discipline. Théâtre d’exigence artistique sans renier son essence : un lieu de culture(s) populaire et accessible à tout le monde.

  • 930
    places dans une salle modulable
  • 15 à 25
    représentations par saison
  • 115e
    anniversaire en 2023
  • 80%
    du public issus du canton de Vaud
  • 1.5
    Million de retombées économiques pour la région

Pourquoi la « Grange sublime » ?

Palais de bois centenaire, le Théâtre du Jorat est aussi connu comme la « Grange sublime ». Un surnom derrière lequel se cache une anecdote. Dès l’inauguration du Théâtre et dans les huit décennies suivantes, plusieurs conseillers fédéraux assistent à des représentations. Ces déplacements fréquents en terres joratoises font du « Bundesrat Theater » un symbole de la cohésion nationale. En 1965, le Conseiller fédéral bâlois Hans Peter Tschudi, séduit par le charme du Théâtre du Jorat, le qualifie de « Grange sublime ». Et l’expression est restée…